With apologies to Freud, three poems, none too serious.
Que Freud puisse accepter mes excuses pour ces trois poèmes petits et légers.
 

I

The playground is quiet,
I can read in the sun.
The children embalmed in day care,
Told when to hush, told when to run
 
Tranquille le terrain de jeu,
Le bétail à la garderie.
“On se tait !” “Vas-y, coure !”
Lire au soleil je peux
 

II

Avant que les cultures

les obsessions ont développées,

La vulve, le vagin et le pénis

étaient déjà sexualisés

par un usage répété.

Before our cultures this or that

obsession boldly juiced

The penis, vulva and vagina

were sexualized already

by repeated use.

III

In the bush, on our haunches we sat perfectly content,
But now—urbane?—our legs (are waxed and) cross.
Education’s responsible 4 this,
And, it could be, having toilets on which to piss.
 
Dans la brousse nous nous accroupissions contents,
Maintenant nos jambes (cirées) sont aussi bien croisées
Que les chevaliers chrétiens, les feux, les mots et les gilets,
Et nos enfants, toujours obligés à bien pisser.
 
— Text and Drawings by William Eaton

Sigmund Freud, Die Traumdeutung
(The Interpretation of Dreams; L’Interprétation du rêve)

• . . . civilization—the age-long progress of repression in the emotional life of humanity
• . . . la civilisation – le progrès éternel de la répression dans la vie émotionnelle de l’humanité